Qui dit nouveau pays dit nouveaux rites, nouvelles coutumes et cela rime directement avec le mot « DECOUVERTE ».
Le Gabon dispose d’un Musée National d’Arts et tradition du Gabon où les visiteurs peuvent observer les masques gabonais et d’autres objets représentant la culture gabonaise. Il est situé en plein cœur de Libreville, en Face de Gabon Meca, près de l’immeuble Gabon MiningLogistics.
Pour les personnes curieuses de savoir quelles sont les richesses rituelles du Gabon, vous pourriez porter votre intérêt sur les masques gabonais. Les masques traditionnels ont toujours tenu une place importante au sein des cultures gabonaises. Chaque ethnie a les siens, dédiés à des cérémonies variées mais toutes importantes dans le rythme de vie de ces populations. Les principaux masques représentatifs par les ethnies les plus représentées sont les suivants :
Mais, si votre intérêt se porte sur des ateliers, des lieux de rites et même des salles de concerts, plusieurs autres destinations vous sont listées juste en dessous.
On ne saurait parler de culture au Gabon sans faire référence à l’Institut Français du Gabon.
Spécialité : Services offerts : films de sortie mondiale. médiathèque. spectacles. conférences. expositions.
Contact : +241 11 76 96 13
Adresse : situé au Boulevard Triomphal. Il accueil plusieurs événements culturels organisés au Gabon.
Cours de français et examens : du lundi au vendredi de 10h à 12h, sur rendez-vous l’après-midi Numéro : +241 65 54 16 28.
IF Café : du lundi au samedi de 8h30 à 20h puis en continu les soirs de spectacle.
Médiathèque : le lundi de 14h à 17h30, le mardi mercredi et vendredi de 10h à 17h30 et le samedi de 9h30 à 17h00.
En ce qui concerne les chorales, la principale et la plus connue est le chant sur la Lowe auquel on ajoute les chorales des différentes églises.
Spécialité : la fondation a pour objet de perpétuer l’œuvre de Monseigneur André Raponda–Walker, 1er prêtre catholique romain elle promeut la science et la culture.
Contact : +241 65 31 27 90,
Adresse : elle est située à l’Avenue Savorgnan de Brazza ancienne, rue du Docteur Ballay Bâtiment de l’Imprimerie Saint-Joseph face à La Présidence de la République.
Facebook : CanalOlympiaMandjiOzangue
la pierre de Mbigou est extraite à Mbigou (Ngounié), au Gabon. La ville de Mbigou est célèbre pour sa pierre extraite dans les collines qui l’environnent. Depuis des générations les sculpteurs savaient mieux que quiconque mettre en valeur la tonalité grise à reflets verts ou grenat de cette pierre.
A Alibandeng derrière le Camp de Gaulle se trouve la Coopérative des Produits Artisanaux de Mbigou (COOPAM). Numéro : +241 77 72 06 40 leur activité, Sculpture de pierre, bois, Trophées de pêche et de chasse…
Le Bwiti (ou bwete, bouiti, bouity, mboeti, mbueti) est un rite initiatique dont l’apparition est indéterminée, mais est antérieure au XIXe siècle, puisque Paul Belloni Du Chaillu, premier explorateur européen de l’intérieur du Gabon, a pu observer sa présence dans le centre du pays. Le Bwiti est essentiellement masculin et est répandu dans les neuf provinces du pays avec des variantes adaptées à l’ethnie dans laquelle, il est pratiqué. Cependant, d’après les pratiquants eux-mêmes, cette tradition serait âgée de plusieurs millénaires et aurait été transmise par les populations pygmées aux peuples bantous comme les Mitsogho qui sont les plus anciens pratiquants, les Fang, les Apinzi, les Kota, les Bakwele ou les Myénè.
Le Bwiti est aujourd’hui largement répandu au Gabon, aussi bien parmi les populations du sud du pays que chez les Fang mais également en milieu urbain. À travers les Fang, le bwiti s’est également diffusé en Guinée équatoriale et au sud-Cameroun.
Le rite de passage du bwiti est centré sur la manducation par le néophyte d’écorces de racines de l’arbuste appelé iboga. Pendant le rite de passage, l’absorption d’une dose d’iboga permet ainsi au néophyte de voyager dans le monde astral et d’obtenir des visions spectaculaires dont le récit aux initiateurs servira à valider son initiation.
La branche originelle du rite initiatique parmi les Mitsogo est appelée bwiti dissumba. Il s’agit d’un rite de passage pubertaire, strictement masculin. Le bwiti dissumba s’appuie sur le culte des ancêtres, notamment à travers des reliquaires contenant les ossements des ascendants défunts.
Le bwiti misoko constitue une branche initiatique dérivée et postérieure au dissumba. Le bwiti misoko possède une fonction avant tout thérapeutique (rite d’affliction) : le néophyte choisit de se faire initier en cas d’infortune inexpliquée, dont on suspecte la plupart du temps qu’elle a été causée par un sorcier malveillant. Les initiés du bwiti misoko sont appelés les nganga-a-misoko, ou plus simplement nganga. Ils ont une fonction de devins-guérisseurs. Contrairement au bwiti dissumba des Mitsogo et des Apinzi, le bwiti misoko accepte souvent (et de plus en plus) les femmes en son sein.
Contact : +241 66 03 57 71
Concernant les cinémas, l’organe qui régule est l’Institut Gabonais du Son et de l’Image(IGIS) Numéro : +241 11 74 04 06 situé à Nombakélé rue 1147 Jacques Akiremy.
Spécialité : Conservation des œuvres d’art. Comprendre la culture des différentes ethnies du Gabon à travers des différents masques et autres pièces.
Contact : +241 11 76 14 56
Adresse : situé à la rue Alfred Marche, en face de la Chambre de Commerce au Centre-Ville.
Horaires d’ouverture : Du lundi au vendredi de 7h30 à 15h30.
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